Introduction 1/12

Dans le nouveau paradigme des naissances, la personne qui enfante n’est ni en « pré-travail » ou en « travail ». On ne « dégage » pas la tête et les épaules de son bébé avant de « délivrer » son placenta pour finir l’accouchement.

Tous ces termes sont ceux que l’on emploie dans les écoles de sages-femmes et les facultés de médecine. Ils restent ancrés dans nos maternités où l’on suit de près l’évolution de la dilatation à l’aide d’un partogramme.

La sage-femme américaine Whapio Diane Bartlett a pour la première fois parlé de l’approche quantique de la naissance en décrivant les états modifiés de conscience de la femme qui enfante. Son travail a ensuite inspiré celui de la québecoise Karine Laseva (Quantik mama) qui a apporté de sa perception et de sa sensibilité au monde des naissances avec la notion de vortex de la naissance.

Lorsqu’on parle de vortex, on peut imaginer une tornade : phénomène naturel, puissant, qui transforme tout sur son passage sans qu’on puisse l’arrêter. La naissance y ressemble sur ces points, bien que ce soit un processus sécuritaire, à l’inverse des ouragans ! Le vortex de la naissance, quand on respecte la physiologie, se lève dans son moment, sans demander la permission, sans pouvoir être provoqué.

La personne qui enfante quitte son statut de « jeune femme » (ou mère de x enfants) pour devenir mère (à nouveau). Elle vit ce rite de passage au cours duquel elle va perdre ses repères, accepter de « mourir » pour intégrer sa nouvelle identité. Elle passe par différents états modifiés conscience, de plus en plus altérée, et va finalement se fragmenter et être capable de télécharger son bébé et sa capacité à s’en occuper.

J’aborde dans mes cours de préparation les différentes étapes du vortex de la naissance et je vous propose ici d’en résumer les points essentiels pour favoriser leur intégration.

Vous pouvez aussi trouver sur le site de Quantik mama un livret gratuit qui décrit le vortex.


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